Quand le bas blesse
L’une de mes écoles de l’année dernière s’enorgueillissait de tout mettre en œuvre pour que ses élèves retiennent quotidiennement un minimum de vocabulaire anglais. En plus de mes cours, la directrice avait prévu tout un arsenal pour parvenir à ses fins : le mot du jour (un nom d’animal, une expression etc.) était répété par l’institutrice plusieurs fois dans la matinée, des séances de lecture d’histoires pour enfants, des chansons pendant la pause repas et des posters récapitulant les grandes lignes de mes leçons placardés dans les couloirs. Si au départ, on ne peut que louer cette initiative, j’émets personnellement des doutes quant à l’utilité des lectures d’histoires et des chansons.
J’émets d'autant plus de réserve quand je vois comment sont retranscrits certains mots simples. Un petit clic sur l’image !