Aichi 2005

Le site de l’Expo s’est révélé beaucoup plus grand que ce que j’imaginais. Son immensité ne m’a pas empêché de tomber de temps en temps sur des élèves de cette année comme de l’année dernière puisque les hasards du calendrier en ont voulu ainsi. Les bambins de l’année passée avaient dû se lever vers 5h30 pour quitter leur école à 6h30 ! Je fus donc très content de ne pas avoir eu à prêter mes services au même endroit deux années de suite.

On peut rejoindre les différentes aires à pied, en vélo taxi, via des espèces de trains touristiques roulant au pas et remplis de personnes du troisième âge, par monorail ou par téléphérique.
La chaleur étouffante liée à l’affluence élevée de ce vendredi 10 juin (120 000 visiteurs) m’a poussé à éviter la foule au maximum pour me réfugier dans chaque bâtiments où l’on ne voyait aucune queue pointer (je parle de files d’attente).
J’ai donc fui tous les pavillons d’entreprise qui nécessitaient en moyenne deux heures de patience et les zones dédiées aux pays industrialisés.

On peut classer les lieux de mes passages en deux catégories : ceux qui ne se foulent pas trop en ne montrant que des panneaux avec quelques photos sous une lumière blafarde, et ceux qui font l’effort de recréer l’atmosphère du pays qu’ils représentent.

A suivre...